DE L'AÉROPORT À NOTRE APPARTEMENT, NOUS PRENONS LE R.E.R.

DE L'AÉROPORT À NOTRE APPARTEMENT, NOUS PRENONS LE R.E.R.
LE TRAIN LOCAL

14e ARRONDISSEMENT, OÙ NOUS AVONS SÉJOURNÉ

Notre appartement se situe est le 14e arrondissement
qui est un des vingt arrondissements de Paris. Il est situé sur la rive gauche de la Seine, au sud de la ville. Il englobe des quartiers qui faisaient autrefois partie de Gentilly et de Montrouge.
Les limites actuelles du 14e arrondissement datent de 1860,
En 2011, le 14e arrondissement compte 51 édifices protégés aux monuments historiques, le 12e arrondissement de Paris en nombre d'édifices protégés, après le 10e (55 édifices protégés) et avant le 11e (44). 12 sont classés au titre des monuments historiques, au moins partiellement, 39 sont inscrits.
3 protections concernent des édicules d'accès
au métro réalisés par Hector Guimard.

PARIS:
Pour simplifier l'histoire de Paris créé au Ve siècle par Clovis, disons que, telle qu'on la connaît aujourd'hui, Paris est
le fruit de facteurs géographique et politiques. En sommes Paris est la fusion de plusieurs villages dont celui de Montmartre entre autres, dû à l'agrandissement de cette ville, depuis Lutèce (Paris des Romains).

Ajoutons que, Paris a toujours été au cœur des évènements
qui ont marqué l'histoire de la France, que ce soit la Fronde, la Révolution française ou plus proche de nous mai 1968.
Paris est la commune la plus peuplée et la capitale de la France, le chef-lieu de la région Île-de-France et l'unique commune-département du pays.

PARIS EST L'AGGLOMÉRATION EUROPÉENNE LA PLUS PEUPLÉE.

L'agglomération de Paris s’est largement développée au cours du XXe siècle, rassemblant 10,5 millions d'habitants au 1er
janvier 2010, et son aire urbaine (l’agglomération et la couronne périurbaine) comptait environ 12,2 millions d'habitants au 1er janvier 2010.

COMÉDIE FRANCAISE

COMÉDIE FRANCAISE
NOUS Y AVONS VUE UNE PIÈCE DE CARLO GOLDONI, LA TRILOGIE DE LA VILLÉGIATURE, 4 ACTES, DURÉE: 4 HEURES

LES TOITS DE PARIS

LES TOITS DE PARIS
6ième étage était, jadis, l'étage des bonnes. Là où il n'y avait ni chauffage (au gaz), ni eau car ils ne pouvaient s'y rendre. On les retrouvait que du 1er au 3ième étage, delà le prix plus cher des appartements, selon ce que nous en a dit notre guide.

RUE DAGUERRE PIÉTONE, OÙ NOUS ALLONS FAIRE NOS COURSES!

RUE DAGUERRE PIÉTONE, OÙ NOUS ALLONS FAIRE NOS COURSES!

NOTRE PREMIER PETIT MARCHÉ RUE DAGUERRE

NOTRE PREMIER PETIT MARCHÉ RUE DAGUERRE
NOUS Y DÉNICHONS QUELQUES PETITS FRUITS, DONT LES FRAISES "MARA DES BOIS" DE LA LOIRE. TELLEMENT SUCRÉES...HUMMMM!

VISITE DES MONUMENTS

On ne peut voir l'Europe sans visiter des églises, des forteresses des architectures splendides qui ont construit leur histoire et, en partie, la nôtre! Nous, ce qui nous intéressait était davantage les périodes Antique, du Moyen-Âge et de la Renaissance, alors nous avons été ravis!

LA VOICI...LA DAME DE FER

LA VOICI...LA DAME DE FER

INFORMATION SUR L'ÉGLISE SAINT-SULPICE

L’église Saint-Sulpice, orientée dans le sens habituel Ouest-Est, est un édifice imposant de 120 mètres de longueur, 57 mètres de largeur, 30 mètres de hauteur sous la voûte centrale ; c’est après Notre-Dame, la plus grande église de Paris.

L'église Saint-Sulpice est une grande église de Paris, située Place Saint-Sulpice, traversée par la rue Bonaparte et a pour adresse postale 2 rue Palatine dans le 6e arrondissement. Elle est dédiée à Sulpice le Pieux, évêque de Bourges au VIIe siècle.

L'église Saint-Sulpice est l'un des lieux de l'action du
roman Da Vinci Code, qui fait passer (à tort) le méridien de Paris par le gnomon et l'obélisque (chapitre 22).


SAINT-SULPICE INTÉRIEUR TOUT Y EST GIGANTESQUE

SAINT-SULPICE INTÉRIEUR TOUT Y EST GIGANTESQUE

VENDANGE AU PIED DU SACRÉ-COEUR, MONTMARTRE

VENDANGE AU PIED DU SACRÉ-COEUR, MONTMARTRE
DU 9 AU 13 OCTOBRE, MONTMARTRE FÊTE DE L'AMOUR ET DES VENDANGES

LORS DE LA FÊTE, ON Y A RENCONTRÉ, LES MEMBRES DE LA RÉPUBLIQUE DE MONTMARTRE

LORS DE LA FÊTE, ON Y A RENCONTRÉ, LES MEMBRES DE LA RÉPUBLIQUE DE MONTMARTRE
Les membres "la république de montmartre " ont adopté le costume d'Artistide Bruant tel que le montre l'affiche de Toulouse-Lautrec sur cette photo. Cet organisme caritatif et culturel, fondé le 7 mai 1921, est l’initiative de grands artistes montmartrois, peintres et dessinateurs. Ses fondateur Francisque Poulbot, et ses amis artistes. Les œuvres de cet organisme sont profits de enfants défavorisée de montmartre, sa devise : faire le bien dans la joie ! Francisque Poulbot était un dessinateur. En 1923, pour venir en aide aux enfants nécessiteux de Montmartre, il ouvre un dispensaire rue lepic et puis, ce dessinateur et affichiste, crée des cartes (appelé des Poulbot) et des affiches promotionnelles lors des fêtes d'enfants qu'ils organisent et sont vendus dans le but de poursuivre leurs œuvres enfants pauvres de Montmartre. Une indication, sur certaines cartes publicitaires, mentionnait que ces événements n'étaient pas pour les enfants de riches.

LES THERMES DE LUTÈCE, MUSÉE du moyen-âge : CLUNY

LES THERMES DE LUTÈCE, MUSÉE du moyen-âge : CLUNY
Pousser la porte du musée de Cluny, c’est d’abord entrer dans un bâtiment exceptionnel qui réunit au cœur de Paris deux édifices prestigieux : les thermes gallo-romains de Lutèce, construits à la fin du Ier siècle, et l’hôtel des abbés de Cluny édifié à la fin du XVe siècle.

LE PENDULE DE FOUCAULT au MUSÉE DES ARTS ET DES MÉTIERS

LE PENDULE DE FOUCAULT au MUSÉE DES ARTS ET DES MÉTIERS
Le pendule de Foucault, du nom du physicien français Léon Foucault, est une expérience conçue pour mettre en évidence la rotation de la Terre par rapport à un référentiel galiléen. Elle s'explique par l'existence de la force de Coriolis dans le référentiel non galiléen lié à un observateur terrestre. En fait, ce pendule ne s'arrête jamais!

PASCALINE

PASCALINE
Blaise Pascal est l'inventeur de la machine à calculer. Initialement dénommée machine d’arithmétique, elle devint roue pascaline puis enfin pascaline. C'est en 1642, à l'âge de dix-neuf ans, qu'il en conçut l’idée, voulant soulager la tâche de son père qui venait d’être nommé surintendant de la Haute-Normandie par le cardinal de Richelieu et qui devait remettre en ordre les recettes fiscales de cette province; elle permettait d’additionner et de soustraire deux nombres d'une façon directe et de faire des multiplications et des divisions par répétitions. La Pascaline fut à l'origine de beaucoup de machines et d'inventions clés de cette industrie.

NOTRE GUIDE NOUS A PRÉSENTÉ L'HISTOIRE ET LE LOCAL DE : LA COMMUNE DE PARIS

NOTRE GUIDE NOUS A PRÉSENTÉ L'HISTOIRE ET LE LOCAL DE : LA COMMUNE DE PARIS
Ce mouvement ouvriers de la Butte-aux-Cailles est un mouvement révolutionnaire contre le gouvernement de Louis-Philippe 1er. Le conflit s'installe contre Versaille et du 26 mars au 28 mai 1871ce fût une semaine de révolution prolétaire qui se termina dans un bain de sang. Elle s'est rapidement transformée en un mouvement social radical, qui aspirait à une république basée sur l’égalité sociale. dans plusieurs villes de France (Paris, Marseille, Lyon, Narbonne, Toulouse, Saint-Étienne, Grenoble, Limoges). Ce mouvement ouvrier, existe toujours, notre guide nous a emmené visiter leur locaux.

NOTRE DAME DE PARIS

NOTRE DAME DE PARIS
REMARQUEZ LA CLÔTURE DU PONT REMPLIE DE CADENAS POSÉS PAR DES AMOUREUX

SOUS LES PONTS DE PARIS....

SOUS LES PONTS DE PARIS....
Derrière nous, le pont des cadenas, où les amoureux viennent y "cadnasser" leur amour! Cependant, il est tombé il n'y a pas longtemps!

L'HEURE JOYEUSE !

L'HEURE JOYEUSE !
Champagne Gratiot-Pillière, de la Vallée de la Marne, vignerons depuis 1657

JE REVOIS TOURS....

JE REVOIS TOURS....
Où j'y étais venu jadis, Tours avec ses maisons à colombages ou maison à pans de bois (expression plus adaptée lorsque la maison est à plusieurs étages). Le terme de colombage utilisé couramment pour désigner un ensemble de « pans de bois » vient du mot colombe (n.f.), attesté en 1334 au sens de « jambage de porte », « poutre dans un mur » et poutre dans « solive de charpente », lequel est un doublet du terme « colonne » attesté sous la forme columbe en 1080. Cette technique, connue dans l’antiquité romaine sous le nom d'opus craticium, a été utilisée en France au moins dès le Haut Moyen Âge jusqu’au XIXe siècle. Cependant, dès le XVIIe siècle et durant tout le XIXe siècle, on plâtre les façades des maisons à pans de bois afin de leur donner un aspect plus luxueux et moderne. Mais de nombreuses maisons à colombage subsistent un peu partout en Europe et des plans de restauration sont mis en œuvre afin de conserver ce type d’habitat considéré comme un patrimoine architectural.

DENTELLE DE TOURS, BONNET TOURANGEAU

DENTELLE DE TOURS, BONNET TOURANGEAU

VITRAUX DU CHOEUR

VITRAUX DU CHOEUR
Sur le plan architectural, Saint-Gatien,pourtant très bel édifice, n'est cependant pas reconnu comme une des cathédrales gothiques majeures de la France. Mais elle possède un joyau exceptionnel : sa collection de vitraux. Les plus beaux, éblouissants, ornent les chapelles du déambulatoire et les fenêtres hautes du chœur. C'est un des plus parfaits ensembles du XIIIe siècle (vitraux à médaillons) existant en Europe, complet, intact, multicolore, très varié. Il faut ajouter les deux roses du transept, du XIVe siècle, ainsi que ceux de la nef et de la façade, du XV e. Un autre beau vitrail du XVe siècle orne une des chapelles du bas-côté sud.

SYMBOL DE SAINT-JACQUE COMPOSTEL

SYMBOL DE SAINT-JACQUE COMPOSTEL
Indiquant au pélerins que cette église est de leur itinéraire!

LES ROIS MAGES, CATHÉDRALE DE TOURS

LES ROIS MAGES, CATHÉDRALE DE TOURS

À PARTIR DE TOURS, LES CHATEAUX QUE NOUS AVONS VISITÉ...

À PARTIR DE TOURS, LES CHATEAUX QUE NOUS AVONS VISITÉ...
LES FLÈCHES BLEUES INDIQUENT LES CHATEAUX QUE NOUS AVONS VISITÉ, Deux des chateaux de François 1er : Chenonceau et Amboise. Plus Saumur ! LA FLÈCHE NOIRE indique : TOURS

DIANE DE POITIER

DIANE DE POITIER
La favorite de HENRI II, fils de Claude de France et de François 1er. Madame de Poitier était, de toute évidence, plus jolie que Catherine de Médicis l'épouse officielle ! Elle avait 20 ans de plus que Henri II, Sacré roi de France le 26 juillet 15471 à Reims, pour qui elle était sa préférée. François Ier meurt d'une septicémie à Rambouillet, le 31 mars 1547. Moins de trois mois après, son fils Henri II offre Chenonceau à sa favorite Diane de Poitiers, duchesse de Valentinois et jeune veuve du vieux maréchal de Brézé. Cette donation est confirmée par lettres patentes à Saint-Germain-en-Laye, au mois de juin 1547. Diane de Poitiers fait aménager sur la rive droite du Cher, le jardin qui porte son nom. Au printemps 1551, cet espace de deux hectares est protégé des inondations par une levée de terre. Le terrain est entouré de fossés, renforcé avec des murs en pierres, eux-mêmes soutenus par des contreforts en maçonnerie. Les déblais versés à l'intérieur permettent l'élévation de terrasses et la réalisation d'un parterre. Ce chantier monopolise une main d'œuvre considérable. Au début de 1552, la duchesse de Valentinois fait appel aux grands seigneurs et possesseurs des jardins de la Touraine pour les plantations, comme Jean Babou de la Bourdaisière, Jean Paul de Selve ou son cousin Simon de Maillé-Brézé, qui délèguent leurs jardiniers. La même année, Diane de Poitiers reçoit dans son nouveau domaine, le roi Henri II, Catherine de Médicis et toute la Cour. Elle confie à l'architecte Philibert Delorme, alors dans toute la faveur royale, le soin de construire un pont reliant le château à la rive gauche afin d'y créer de nouveaux jardins et d'accéder à de plus grandes chasses. Ce pont fait partie des plans originels des Bohier. Les travaux commencent au printemps 1556 et après bien des vicissitudes, s'achèvent avant la fin de l'année 1559 pour un coût estimé à plus de 9 000 livres. Mais le roi ne pourra pas inaugurer cet ouvrage, il est mortellement blessé à Paris lors d'un tournoi le 30 juin 1559, par le capitaine de sa garde écossaise, Gabriel Ier de Montgommery.

CATHERINE DE MÉDICIS

CATHERINE DE MÉDICIS
La femme officielle de HENRI II, fils de Claude de Fance et de François 1er. À la disparition de Henri II, survenue le 10 juillet 1559, Catherine de Médicis contraint sa rivale Diane de Poitiers, à restituer Chenonceau à la Couronne et à accepter en échange le château de Chaumont-sur-Loire, dominant la Loire, entre Blois et Amboise. L'acte de transfert est scellé à Blois dès la fin de l'année 1559 et confirmé au château de Chinon, le 10 mai 1560. Au mois de mars 1560, la conjuration d'Amboise est réprimée dans le sang. Reine-mère après l'accession au trône de son fils aîné, François II, Catherine de Médicis juge favorable le moment de divertir la Cour pour oublier un temps, l'horreur des massacres. Une fête est donc donnée en l'honneur du jeune roi et de son épouse Marie Ire d'Écosse, née Marie Stuart, à Chenonceau. Le grand ordonnateur de ces réjouissances est Francesco Primaticcio, dit Le Primatice, qui succède dans la charge de surintendant des bâtiments royaux à Philibert Delorme, disgracié deux jours après la mort d'Henri II. Le 31 mars 1560, le cortège royal arrive à Chenonceau et après des festivités mémorables, prolonge son séjour jusqu'au 6 avril. François II, les reines et la Cour se rendent ensuite à l'Abbaye de Marmoutier, avant de revenir quelques jours à Chenonceau et rejoindre le château d'Amboise. François II décède à Orléans le 5 décembre 1560, à l'âge de seize ans après seulement dix-sept mois de règne. Le 21 décembre 1560, le Conseil privé nomme Catherine de Médicis, « gouvernante de France ». Charles IX, dix ans, succède à son frère. Commencent alors pour le royaume en 1562, les guerres de religion. Catherine décide l'embellissement de sa résidence des bords du Cher. L'aménagement du parc de Francue il débute en 1561. Le parterre de Diane est modifié et Catherine de Médicis crée son propre jardin, en aval de la terrasse des Marques. La fontaine du Rocher voit le jour ainsi que le « jardin vert ». Les travaux de ses jardins achevés, la reine-mère organise les secondes fêtes somptueuses à Chenonceau pour son second fils, le roi Charles IX, le 13 avril 1563. Une manière également de parachever la trêve dans la lutte des partis, la Paix d'Amboise est signée le 19 mars 1563, en invitant le prince de Condé, chef des protestants. Sont présents également, le frère du roi duc d'Orléans et futur Henri III, sa sœur Marguerite plus connue sous le nom de reine Margot, Henri de Navarre qui deviendra Henri IV, enfin Henri de Guise dit « le Balafré ». Pour parvenir à ses fins, face à ses adversaires politiques, Catherine de Médicis utilise les charmes des demoiselles de l'aristocratie appartenant à sa maison. Elles jouent pour l'occasion les rôles de nymphes, auprès de la noblesse rassemblée. Les célébrations sont clôturées le 22 avril et la Cour quitte Chenonceau pour Chambord. Charles IX meurt le 30 mai 1574 au château de Vincennes et lui succède son frère Henri III. Le nouveau roi de France épouse le 15 février 1575, Louise de Lorraine.

HENRI II, ROI DE FRANCE OFFRE CHENONCEAU À DIANE DE POITIER ET Y HABITE AVEC CATHERINE DE MÉDICIS.

HENRI II, ROI DE FRANCE OFFRE CHENONCEAU À DIANE DE POITIER ET Y HABITE AVEC CATHERINE DE MÉDICIS.
Henri II, né le 31 mars 1519 à Saint-Germain-en-Laye et mort le 10 juillet 1559 à Paris, est roi de France de 1547 à sa mort. Deuxième fils de François Ier et de Claude de France, il devient l'héritier du trône à la mort de son frère aîné en 1536. Il reçoit alors les titres de dauphin et de duc de Bretagne. Sacré roi de France le 26 juillet 1547 à Reims, il prend comme emblème le croissant de lune, qui est depuis toujours celui de la maison d'Orléans à laquelle il appartient en tant que fils cadet de François Ier (et non pas l'emblème de Diane de Poitiers sa favorite qui habitat Chenonceau à partir 1547, année du sacre de Henri 11). Sa femme légitime : Catherine de Midicis habitat également Chenonceau. Ses 2 femmes co-habitèrent donc en même temps le chateau. Ses devises sont Plena est œmula solis (« L'émule du soleil est pleine ») et Donec totum impleat orbem (« Jusqu'à ce qu'elle remplisse le monde entier »). Son règne marque également l'essor du protestantisme qu'il réprime avec davantage de rigueur que son père. Devant l'importance des adhésions à la Réforme, Henri II ne parvient pas à régler la question religieuse, qui débouche après sa mort sur les guerres de religion. Il meurt accidentellement à l'âge de quarante ans : le 30 juin 1559, lors d’un tournoi tenu rue Saint-Antoine à Paris (devant l'ancien hôtel des Tournelles), Gabriel de Montgommery, capitaine de sa Garde écossaise, le blesse d'un éclat de lance dans l'œil. Il en meurt le 10 juillet 1559.

EN DIRECTION D'AMBOISE

EN DIRECTION D'AMBOISE
À droite : La loire que nous longeons!

CHÂTEAU D'AMBOISE

CHÂTEAU D'AMBOISE
En plus du château, les drapeaux issés sont de la France et de la Bretagne pour souligné la présence de Anne de Bretagne. Avant d'être rattaché à la couronne en 1434, le château appartenait, depuis plus de quatre siècles, à la puissante famille d'Amboise. Pendant la Renaissance, il sert de résidence à plusieurs rois de France. Henri II, son fils, continuera l'agrandissement de l'édifice en ordonnant la construction de nouveaux bâtiments sur la partie est. En 1560, sous le règne éphémère de François II, le château fut le théâtre de la conjuration d'Amboise, prélude aux guerres de Religion.

FRANÇOIS 1er, Roi de France

FRANÇOIS 1er, Roi de France
François Ier (1494 – 1547), dit le Père et Restaurateur des Lettres, le Roi Chevalier, le Roi Guerrier, le Grand Colas, le Bonhomme Colas ou encore François au Grand Nez1, est sacré roi de France le 25 janvier 1515 dans la cathédrale de Reims. Il règne jusqu’à sa mort en 1547. Fils de Charles d’Angoulême et de Louise de Savoie, il appartient à la branche de Valois-Angoulême de la dynastie capétienne. 2 MARIAGES : Le 18 mai 1514, il épouse Claude de France (1499-1524), fille du roi Louis XII et d’Anne de Bretagne, dont les drapeaux de la Bretagne apparaissent sur la photo du chateau d'Amboise. Elle apporte en dot le duché de Bretagne, les comtés de Blois, Coucy, Ast et Monfort ainsi que les droits à la succession du duché de Milan et une cassette de 100 000 écus d’or. Elle est sacrée reine de France à Saint-Denis le 10 mai 1517. // Le 7 août 1530, il épouse en secondes noces au Frêche37 Éléonore de Habsbourg (1498-1558) sœur de Charles Quint, veuve du roi Emmanuel Ier de Portugal et fille de Philippe Ier de Habsbourg et de la reine Jeanne Ire de Castille. Sacrée à Saint-Denis en 1531, elle ne donnera pas d’enfants à François Ier.

CLAUDE DE FRANCE (FILLE DE ANNE DE BRETAGNE ET DE LOUIS XII) 1ère ÉPOUSE DE FRANÇOIS 1er

CLAUDE DE FRANCE (FILLE DE ANNE DE BRETAGNE ET DE LOUIS XII) 1ère ÉPOUSE DE FRANÇOIS 1er
Claude de France. - Fille de Louis XII, roi de France, et d'Anne de Bretagne née en 1499, à Romorantin, morte en 1524. Elle fut fiancée en 1506 au Dauphin François de Valois (devenu ensuite François Ier), quoiqu'elle eût déjà été fiancée à Charles d'Autriche, et l'épousa en 1514 à l'âge de 15 ans. Elle lui apporta en dot le duché de Bretagne, les comtés de Blois, de Coucy, de Montfort, d'Étampes, d'Ast, et des droits sur le duché de Milan. Elle était boiteuse et pas belle mais spirituelle et pleine de bonté; ses vertus lui méritèrent le surnom de Bonne Reine. C'est en souvenir de cette princesse qu'une des meilleures-variétés de prunes a été appelée Reine-Claude.

DESCENDANCE DE FRANÇOIS 1er : 7 ENFANTS AVEC CLAUDE DE FRANCE

Claude de France, première épouse de François Ier, donne naissance à sept enfants dont deux meurent en bas âge.

Louise (1515-1518), promise en mariage à Charles Quint.
Charlotte
(1516-1524).
François (28 février 1518 - 10 août 1536) 1er dauphin dit « de Viennois », duc de Bretagne.

Henri (31 mars 1519 - 10 juillet 1559). Second dauphin, il succède à son père sous le nom
de Henri II.


Madeleine
(10 août 1520 - 2 juillet 1537). Elle épouse Jacques V,
roi d’Écosse (1512-1542).

Charles
(22 janvier 1522 - 9 septembre 1545), duc d’Angoulême
puis duc d’Orléans.


Marguerite
(5 juin 1523 - 14 septembre 1574). Elle épouse en 1559 Emmanuel-Philibert (1528-1580), duc de Savoie.
Certains évoquent un huitième enfant, Philippe, né en 1524 et mort en 1525, ce qui laisse penser que Claude de France est morte en couches.
Descendance illégitime de Jacquette de Lanssac, il eut :
Louis de Saint-Gelais (°1513 + 10/1589)
Épousa en premières noces Jeanne de la Roche-Landry 1563 puis en 2e noces le 8 octobre 1565 Gabrielle de Rochechouart;
Sa postérité s'éteignit avec les mâles à la troisième génération en 1636.

François Ier eut également d’une dame inconnue un fils qui ne fut pas légitimé
par la suite :
Nicolas d’Estouteville, seigneur de Villecouvin.

ÉLÉONORE DE HABSBOURG (1498-1558), 2e ÉPOUSE DE FRANÇOIS 1er

ÉLÉONORE DE HABSBOURG (1498-1558), 2e ÉPOUSE DE FRANÇOIS 1er
Éléonore de Habsbourg (1498-1558) sœur de Charles Quint, veuve du roi Emmanuel Ier de Portugal et fille de Philippe Ier de Habsbourg et de la reine Jeanne Ire de Castille. Sacrée à Saint-Denis en 1531, elle ne donnera pas d’enfants à François Ier.

POUR NOS NOCES DE DENTELLE

POUR NOS NOCES DE DENTELLE
Un petit saut chez Jocelyne la dentellière de Amboise

DIFFÉRENTS STYLE DE DENTELLE

DIFFÉRENTS STYLE DE DENTELLE
Travaille minucieux

LES CARREFOURS GIRATOIRES SUR LES ROUTES DE FRANCE OU, COMMENT SE COMPLIQUER LA VIE!

LES CARREFOURS GIRATOIRES SUR LES ROUTES DE FRANCE OU, COMMENT SE COMPLIQUER LA VIE!
Notre GPS ne savait plus où donner de la tête dans ces rond points, alors souvent nous avons dû tourné en rond jusqu'à ce qu'il se décide à nous donner la direction à suivre et si ce n'était que cela. Car, à l'approche d'un giratoire (panneau à 50 mètres en agglomération), il faut également penser à céder le passage aux piétons des passages réservés et il peut être nécessaire de céder le passage aux usagers déjà sur l'anneau (prioritaires), compte tenu du sens de rotation conventionnel. Ce sens a été choisi pour limiter la taille du carrefour, en permettant une insertion des voies sans trop les élargir. La vitesse à appliquer est inférieure à celle en vigueur dans la zone rencontrée, comme pour un tournant classique. Toutefois, pour pouvoir suivre les courbes d'un giratoire de taille moyenne, il vaut mieux l'aborder à 30 km/h, mais rien n'empêche sur un giratoire de très large diamètre et se trouvant en dehors de l'agglomération d'aller à 60 km/h si la courbure et la visibilité le permettent. Le carrefour giratoire est aussi utilisé pour les carrefours comportant plus de quatre branches, économisant la gestion de feux complexes et les délais d'attente qui y sont associés. Mais le fait de devoir obligatoirement ralentir pour l'aborder en fait une arme contre la vitesse excessive comme les ralentisseurs aménagés aux abords des écoles. Cependant, un tel carrefour doit obligatoirement être signalé en avance par un panneau de présignalisation de danger, à l'intersection par une balise de priorité (plus obligatoire en agglomération depuis l'AB25 en lieu et place de l'A25 en présignalisation), sur l'îlot central de panneaux indiquant le sens de circulation sur l'anneau et au sol par les marquages appropriés matérialisant les lignes d'arrêt et la chaussée de l'anneau. À défaut, le principe général de la priorité à droite devra être respecté avec la plus grande prudence vu le risque de confusion.

ENTRE SAUMUR ET NANTES, CHEMIN FAISANT

ENTRE SAUMUR ET NANTES, CHEMIN FAISANT
LA LOIRE

ARRÊT POUR LE LUNCH

ARRÊT POUR LE LUNCH
Le propriétaire de cet auberge pour motocylistes, nous a servit un succulent pot au feu avec des légumes de son jardin. Il est lui-même un sérieux fan et conducteur de motos dont il nous a fourni des explications sur sa moto Guzzi en plus d'un side-car Ural qui appartient à un client de son auberge.

24 OCTOBRE:TOURS-NANTES, EN AUTO (Agrandir cliquer à gauche sur (+ ou -),Déplacez-vous avec flèches)

À NANTES, VUE DE NOTRE APPARTEMENT

À NANTES, VUE DE NOTRE APPARTEMENT
La Cité des Congrès et le Canal. Nantes est la 6° commune la plus peuplée de France, fief de tant de monarques durant des siècles. Elle fut convoitée notamment au XV° siècle, roi de France et Ducs de Bretagne rivalisèrent pour s’en approprier. Elle sera une des dernières grandes agglomérations à accepter Henri IV comme roi et c’est ainsi que la promulgation de l’Édit de Nantes en 1598 ne sera pas le reflet de l’opinion des Nantais. Ils étaient républicains et sous la Révolution française, ils tinrent tête aux hordes vendéennes.

CHANSON DU MOUCHOIR ROUGE DE CHOLET, DE THÉODORE BOTREL....

Premier couplet :

J'avais acheté pour ta fête

Trois petits mouchoirs de Cholet
Rouges comme la cerisette
Tous les trois, ma mie Annette
Ah qu'ils étaient donc joliets
Les petits mouchoirs de Cholet

Deuxième couplet :

Ils étaient là, dans ma poquette
Près du vieux mouchoir blanc, si laid
Et tous les soirs, la guerre faite
Dans les bois, ma mie Annette
En rêvant de toi, je rêvais
Aux petits mouchoirs de Cholet

Troisième couplet :

Les a vus Monsieur De Charette,
Les voulut, je les lui donnai
Il en mit un dessus sa tête,
Le plus biau, ma mie Annette,
C'était le plus fier des plumets,
Le petit mouchoir de Cholet

Quatrième couplet :

Fit de l'autre une cordelette
Pour pendre son sabre au poignet
Fit du troisième une bouclette
Sur son coeur, ma mie Annette
Et tous les jours les bleus visaient
Les petits mouchoirs de Cholet

Cinquième couplet :

Ont visé le coeur de Charette
Ont troué... celui qui t'aimait
Et je va mourir ma pauvrette
Pour mon Roi, ma mie Annette
Et tu ne recevras jamais,
Tes petits mouchoirs de Cholet

Sixième couplet :

Mais Qu'est-ce là, dans ma poquette?
C'est mon vieux mouchoir blanc... si laid,
Je te le donne pour ta fête,
Plein de sang, ma mie Annette,
Il est si rouge qu'on dirait
Un mouchoir rouge de Cholet.

SCULPTURE DU MUR DE NANTES QUI RACONTE LEUR HISTOIRE

SCULPTURE DU MUR DE NANTES QUI RACONTE LEUR HISTOIRE

MA COPINE DE NANTES

MA COPINE DE NANTES
Sur notre bicyclette achetée à Paris et rapportée au Québec. Quelques jour avant, notre copine nous a fait visiter les plus beaux endroits de sa région, qui apparaissent ici et nous avons pu dégusté en sa compagnie un excellent cidre, produit du terroir!

DE NANTES À SAINT-LYPHARD,GUÉRANDE / EN BRETAGNE : CROISIC, BATZ-SUR-MER, BAULE-ESCOUBLAC

CALLIGRAPHISTE DE GUÉRANDE

CALLIGRAPHISTE DE GUÉRANDE
Depuis son atelier lors de notre visite de Guérande, ce Calligraphiste nous a habilement inscrit, des mots aux lettres savamment dessinées, que nous avions choisit! Quel art noble!

LA TRADITIONNELLE BOLLÉ DE CIDRE, DES BRETONS

LA TRADITIONNELLE BOLLÉ DE CIDRE, DES BRETONS
Les cidres Kerisac sont présents dans la plupart des crêperies de Bretagne et de Loire-Atlantique, ainsi que dans les bars brasseries. Les cidres de cette cidrerie sont fabriqués à partir de 5 variétés de pommes à cidre de Bretagne. Traditionnellement, le cidre est le breuvage de prédilection des Bretons, qui accompagnait l’agriculteur dans son champ, l’ouvrier dans son usine, l’étudiant, le col blanc et le touriste dans un repas à la crêperie (où on le boit souvent selon la tradition dans une bolée), le cidre demeure une institution en Bretagne ! Doucement pétillant, on l’apprécie aussi bien comme ingrédient de recettes, qu’en boisson désaltérante et pour escorter certains plats et desserts. Ainsi, est-il indissociable des galettes de sarrasin (galette de blé noir) et des crêpes (crêpe bretonne).

AUX PORTES DE LA BRETAGNE : LES CHAUMIÈRES DE SAINT-LYPHARD

AUX PORTES DE LA BRETAGNE : LES CHAUMIÈRES DE SAINT-LYPHARD
Un village qui ressemble au village Gaulois d'Astérix. Saint-Lyphard en perpétue les traditions, gastronomiques en particulier : crêpes, poissons et crustacés. Autre tradition : l'amour de la nature, dans les terres avec les marais comme le long du littoral, du côté de Piriac-sur-Mer, plus proche village balnéaire et escale d'authenticité. St Lyphard, une des communes de Brière, située sur la bordure du plus insolite et du plus captivant des grands marais français, à mi-chemin entre la Côte d'Amour et les rives de la Vilaine Maritime. Son territoire a été fréquenté depuis les temps les plus reculés puisque l'on y retrouve de nombreux vestiges et monuments mégalithiques ou gallo-romains. Cette occupation ancienne est due à sa position sur l'isthme de la Presqu'île Guérandaise, entre la Brière et le traict de St Molf qui a canalisé les invasions et migrations.

BEAU MAIS PAS CHAUD

BEAU MAIS PAS CHAUD
Le vent de l'Atlantique souffle!

ÉCOUTEZ...LA MER!

ÉCOUTEZ...LA MER!

SI PETIT, DEVANT TANT D'IMMENSITÉ

SI PETIT, DEVANT TANT D'IMMENSITÉ

28 OCT.: NANTES-TOULOUSE,TRAIN (Agrandir cliquer à gauche sur (+ ou -),Déplacez-vous avec flèches)

NANTES À TOULOUSE, EN TRAIN

NANTES À TOULOUSE, EN TRAIN
Nous avons pris le train Inter Cités, de la Gare de Nantes à la Gare Matabiau, Toulouse. durée du voyage 8hres car il y a eu des contrôles policiers dans une gare en route ce qui a eu pour conséquence que notre train a dû laissé passer des TGV. Nous sommes arrivés à 1 hre du matin à Toulouse. Les surveillants de la Gare de Toulouse attendait l'arrivée de notre train pour fermer la Gare de Toulouse. Heureusement que notre propriétaire a eu la générosité de venir nous chercher à la Gare car il n'y avait que 3 taxis qui étaient disponibles pour une trentaine de voyageurs qui attendait pour se rendre à destination!

VITESSE DU TRAIN INTER CITÉS

VITESSE DU TRAIN INTER CITÉS
Sur notre cellulaire androïd français

LA GARONNE À TOULOUSE

LA GARONNE À TOULOUSE
La Garonne A la hauteur de Toulouse, la Garonne s'oriente vers le Nord-Ouest et, à la hauteur d’Empalot, se divise en deux bras qui enserrent plusieurs îles dont l'île du Ramier. Le débit moyen est estimé à 190 m3 par seconde, mais il peut être beaucoup plus élevé à certaines périodes de l’année : fonte des neiges sur le massif pyrénéen, pluies abondantes sur l’ensemble du bassin versant,... A l’inverse, à l’étiage, en fin d’été, il peut descendre en dessous de 40 m3 par seconde. Dans la traversée de la ville, des quais et des digues ont été aménagés au fil du temps. De même, de nombreux ponts ont été édifiés pour compléter la chaussée - ou plutôt le passage à gué - du Bazacle, seul franchissement historique du fleuve (le mot Bazacle signifie seuil sur le plan étymologique). Aujourd'hui, huit ponts routiers et une voie ferrée enjambent la Garonne à Toulouse.

1er NOVEMBRE LA TOUSSAINT AU CIMETIÈRE DE TERRE-CABADE, TOULOUSE

1er NOVEMBRE LA TOUSSAINT AU CIMETIÈRE DE TERRE-CABADE, TOULOUSE
Nous sommes allez, nous aussi, nous recueillir sur une tombe, celle de la Famille Barry choisit au hasard!

L'ART ROMAN, AU MUSÉE DES AUGUSTINS

L'ART ROMAN, AU MUSÉE DES AUGUSTINS
Joyau de l'art roman, la basilique Saint-Sernin s'élève à l'emplacement d'une ancienne basilique paléochrétienne, où était vénéré le tombeau de saint Saturnin. Le nouvel édifice, construit à partir des années 1070, est dû à l'impulsion de l'évêque Isarn, propagateur fervent de la réforme grégorienne. Les vestiges que conserve le musée des Augustins sont les témoins de deux campagnes de construction. Le programme de la façade occidentale fut sans doute modifié avant son achèvement, vers 1110. Les sculptures déjà exécutées furent alors remployées ailleurs. Ce fut vraisemblablement le cas du bas-relief en marbre Le Signe du Lion le Signe du Bélier qui entra au musée dès 1800, à l'initiative de son conservateur, Jean-Paul Lucas. Le cloître construit au XIIe siècle (sur l'emplacement de l'actuelle place Saint-Sernin) fut détruit entre 1803 et 1808. Le musée possède toutefois une série de chapiteaux où nous distinguons plusieurs groupes au répertoire ornemental et animalier affirmé. Un ensemble de quatre chapiteaux présente des lions sculptés en très haut relief, au point qu'ils apparaissent comme détachés du noyau central de la corbeille. Selon Quitterie Cazes, ces chapiteaux constituent l'apogée de l'impulsion baroque qui apparaît dans les reliefs de la façade occidentale de Saint-Sernin, vers 1100-1110. Une seconde série montre des petits personnages et des animaux pris dans des rinceaux, rendus avec une grande maîtrise. Un nouveau goût pour la miniaturisation des décors apparaît ici.

LES PÉLERINS Y FONT UN VOYAGE INTÉRIEUR VERTICAL

Le long de ce chemin le pèlerin est témoin d'une autre forme de pèlerinage,

un voyage vertical cette fois : la recherche de l'intériorité personnelle et la

découverte spirituelle.

Quel est le sens de ma vie ?

Le pèlerin est l'Église en marche :

Compostelle, Rome, … figurent le but (même si arrivé là-bas il doit revenir)

et les étapes sont à la fois l'Église sur terre par l'accueil et la rencontre avec

les communautés et à la fois anticipation du Ciel vers la Jérusalem céleste.

La halte sur la route lui permet de se rappeler le sens, le but de son chemin,

de trouver dans le témoignage et la traces des saints un appui, pour reprendre

sa route de conversion, jamais terminée et de hâter ainsi la venue du

royaume de Dieu.

Le pèlerin ressort de l'église :- plein de foi :
il en a contemplé les figurations et comprend l'appel à la prière,

aux anges figurant dans les chapiteaux.

GAILLAC, CIRCUIT VIGNOBLE

GAILLAC, CIRCUIT VIGNOBLE
Chez nos amis, le vin est bon!

CHANSON RÉALISÉE PAR LA COMMISSION INTERPROFESSIONNELLE DES VINS DE GAILLAC

GAILLAC, UN VERRE DE SOURIRE

(Écouter la chanson avec l'accent Occitant, sur le lien en bas du blog)


Dans une région où le rugby est roi

On a découvert les vins du Gaillacois

On s'est laissé tenter par une petite gorgée

Ca ne fait pas de mal et ça remonte le moral



Ami entre donc et viens t'asseoir à la table

On va te faire goûter un sacré vin fort délectable

Et partout quand tu iras boire un petit coup ci et là

Tu diras....



Refrain :

A Gaillac il y a mieux que ça le vin y est bien meilleur

On le goutte un fois il vous enchante votre cœur

Alors ami levons le verre à ces artisans de la terre

Ca ne fait pas de mal et ça remonte le moral



On trouve le savoir faire on trouve le soleil

Et puis beaucoup d'amour tout çà dans une bouteille

Si tu passes dans le coin viens donc goûter ce vin divin

Ca ne fait pas de mal et çà remonte le moral
A Gaillac c'est la fête toujours de bonne humeur

Rouge, Rosé, Perlé et les blancs et Primeur

Tous ces vins sont primés, alors dis moi pourquoi se priver

Ca ne fait pas de mal et çà remonte le moral

OUI NOUS LES BOIRONS... LES VIDERONS...À ALBI...

OUI NOUS LES BOIRONS... LES VIDERONS...À ALBI...

LA GAILLACOISE ET LA GÂTÉE....

LA GAILLACOISE ET LA GÂTÉE....
Se qu'on a rigolé!

PAPE INNOCENT III LANCE LES CROISÉS CONTRE LES HÉRÉTIQUES

Avec l’assassinat du légat cistercien Pierre de Castelnau, le 15 janvier 1208, le pape Innocent III (1198-1216) tient enfin le prétexte qu’il lui faut : il peut désormais lancer sa première « croisade »en terre chrétienne contre les hérétiques. L’idée, en gestation depuis la fin du XIIe siècle, trouve un écho certain après l’échec retentissant de la quatrième croisade vers l’Orient. Des prédicateurs, de plus en plus nombreux, insistent sur la nécessité pour les chrétiens de retrouver une « pureté d’action », perdue, entre 1202 et 1204, à cause du détournement de l’armée croisée vers les villes chrétiennes de Zara et de Constantinople. Le sac de la ville byzantine avait indigné la chrétienté ;le pape lui-même avait vigoureusement exprimé son affliction face à cette dérive inattendue. Pour à nouveau retrouver lesfaveurs de Dieu et avant même espérer reconquérir les lieux saints, une nécessité s’impose : il faut commencer par se débarrasser des adversaires de l’Église au coeur de l’Occident chrétien. Innocent III se tourne alors tout naturellement vers le Languedoc, là où se trouve « l’ennemi de l’intérieur » (selon l’expression du médiéviste Jean-Louis Biget), l’hérétique, ce dissident qui s’est détourné du message chrétien prôné par l’Église de Rome. Ce Languedoc où le pape, depuis son ascension au trône pontifical, avec l’aide de l’ordre cistercien, tente d’asseoir son autorité morale et politique à travers le suivi de « l’affaire de la paix et de la foi », nom officiel de toutes les actions menées pour le compte de la papauté dans l’espace méridional(prédications, actions diplomatiques et militaires).

Des méridionaux réfractaires à la prédication évangélique

Au début de son pontificat, l’attention d’Innocent III sur les hérétiques méridionaux paraît être surtout un moyen de pratiquer une épuration massive du haut clergé local. Informé par les appels de grands seigneurs comme Guilhem VIII de Montpellier ou Pierre II d’Aragon(couronné roi à Saint-Pierre de Rome le 11 novembre 1204 et devenu, la même année, seigneur de Montpellier), le pontife a surtout à sa disposition les rapports des missions cisterciennes qui inlassablement parcourent le Midi et dressent des bilans alarmants, et, sous bien des aspects, amplifiés sur la situation de l’Église méridionale aux prises avec le progrès des hérésies et le difficile maintien de la paix entre les grandes puissances temporelles. Avec le début, en 1203, de la légation des moines de Fontfroide, Raoul et Pierre de Castelnau,l’élimination des prélats méridion aux jugés indésirables s’est intensifiée. Elle prend même l’allure de « purge »

(J.-L. Biget) : les évêques de Béziers, d’Agde et de Viviers,l’évêque et le prévôt de Toulouse sont déposés, l’archevêque de Narbonne, Béranger, est constamment critiqué. Progressivement des hommes neufs, formés à l'école de la « nouvelle Église romaine », réformatrice et unificatrice, s’installent dans le Midi : Foulques, l’ancien troubadour fait moine cistercien, devient évêque de Toulouse ; l’évêque Diègue d’Osma et son compagnon Dominique s’installent à Prouille et à Fanjeaux, à la limite des terres de Raymond VI et de Trencavel. Contre les hérétiques, le pape prône encore la prédication humble et abandonnée à la charité quotidienne, mais il ne peut plus ignorerque l’action de tous ces légats, prédicateurs et prélats envoyés en Narbonnaise et plus particulièrement dans les terres de Trencavel, se heurte à l’opposition du clergé local et à l’inertie des comtes de Toulouse et de Carcassonne. Les serments de paix obtenus par les légats maintiennent un équilibre politique fragile. Les « dispute» organisées avec les hérétiques portent leurs fruits, mais elles ne produisent pas des résultats rapidement conséquents. Or, pour les cisterciens comme pour le pape, « l’affaire de la paix et de la foi » dans le Midi est devenue un problème diplomatique urgent.


INNOCENT III (1198-1216)

INNOCENT III (1198-1216)
Ce pape fut lutteur implacable contre les hérésies, surtout contre les cathares. Après avoir montré une relative patience, il prit prétexte de l'assassinat de son légat Pierre de Castelnau (1208) pour déchaîner la croisade contre les Albigeois. Le zèle des croisés, les excès qu'ils perpétrèrent, dépassèrent ses intentions. Le concile de Latran de 1215 marqua l'apogée de son pontificat. Innocent III mourut l'année suivante, laissant une oeuvre inachevée et un avenir lourd de menaces. La guerre contre les Albigeois n'avait pas eu raison du catharisme. Cependant Innocent III avait compris que les ordres mendiants, Dominicains et Franciscains, seraient plus efficaces que les guerriers, et il avait soutenu leur action. Il ne comprit pas en revanche que l'éveil progressif, et déjà sensible, des nationalités battait en brèche la suprématie du Saint-Siège, qui avait été la ligne de force de son Pontificat. Innocent III, dont le nom est Lotario di Segni (1160-1216) fût pape de 1198 à 1216. Issu d'une famille noble, il fit ses études à Bologne puis à Paris, et acquit de solides connaissances en théologie et en droit canon. Cardinal-diacre en 1190, il fut élu pape en 1198 à la mort de Célestin III. Ayant résolument adopté les concepts théocratiques de Grégoire VII, il les mit sans attendre en application. il imposa sa suzeraineté à la veuve de l'empereur Henri VI et s'attribua la tutelle du futur Frédéric II de Hohenstaufen, cherchant par là à éradiquer les influences allemandes en Italie. Il soutint le guelfe Othon de Brunswick contre le gibelin Philippe de Souabe dans le lutte pour le trône impérial. Il couronna lui-même Othon en 1208. Ce dernier n'en poursuivit pas moins la politique de sons prédécesseur hostile à la domination du Saint-Siège. Innocent III l'excommunia en 1210 et lui imposa Frédéric II. Il soutint Philippe Auguste contre lui. La victoire de Bouvines provoqua l'élimination d'Othon et le pape put se croire l'arbitre de l'Empire. Il sévit pareillement contre Jean sans Terre coupable d'avoir confisqué les biens de la cathédrale de Canterbury. Excommunié, Jean sans Terre fit sa soumission (pour éviter la conquête de son royaume par les français), et se déclara vassal du pape. Il exerça de même une influence politique certaine dans les Balkans, à Chypre et en Arménie. Il fut moins heureux en France; où il se heurta à la volonté de Philippe Auguste, qu'il était d'ailleurs obligé de ménager. La quatrième croisade (1204) le déçut cruellement ; il ne pouvait admettre que les Vénitiens l'eussent détourné de son but ; il crut néanmoins que la chute de l'Empire byzantin mettrait fin au schisme grec mais ne parvint pas à ses fins.

LA CROISADE CONTRE LES ALBIGEOIS: LUTTE CONTRE L'HÉRÉSIE CATHARE

Au XIIe siècle, l'Eglise engage une lutte acharnée contre les Cathares usant de tous les moyens à sa disposition: la prédication, la guerre et l'Inquisition

Les Albigeois ou Cathares sont les membres d’une secte religieuse qui connaît un grand essor du XIe au XIIIe siècle, dans toute l’Europe occidentale mais surtout en Languedoc où elle rencontre une grande tolérance et cristallise les mécontentements. Cette secte, héritière du manichéisme, croit en l’existence de deux Dieux: l’un est bon, c’est le Dieu des Evangiles, l’autre est corrompu, c’est le Dieu de l’Ancien Testament.

Les Cathares refusent le mariage et ne reconnaissent pas le sacrifice du Christ sur la croix, ce qui leur attire l’hostilité de l’Eglise. De plus, ils sont opposés à la propriété et au serment, allant ainsi à l’encontre des valeurs féodales. Tout concourt pour qu’ils soient déclarés hérétiques.

L'échec de la prédication

Dès le XIIe siècle, la papauté tente d’éradiquer l’hérésie de manière pacifique. Ainsi, saint Bernard va prêcher dans le Midi en 1145; de même, à partir de 1206, saint Dominique y inaugure un nouveau genre de prédication. Ces tentatives sont des échecs.

La papauté pense alors à une action armée, mais Philippe Auguste ne souhaite pas s’y engager. Le comte Raymond VI de Toulouse apparaît alors comme l’homme idéal pour mener le combat mais, en 1207, il refuse d’adhérer à la ligue contre les cathares. Pierre de Castelnau, légat du pape, l’excommunie aussitôt.

L’assassinat de Pierre de Castelnau en janvier 1208, après une rencontre avec Raymond VI, décide le pape à prêcher la croisade contre les Albigeois, le 10 mars. Du même coup, le comte est à nouveau excommunié et Pierre de Castelnau canonisé.

Simon de Montfort et la croisade en Languedoc

Raymond VI choisit de se soumettre et rejoint la croisade féodale. Bien qu’étant une armée internationale, le gros des troupes vient du nord de la France et le commandement est confié à un seigneur d’Ile-de-France, Simon de Montfort. La croisade commence par la prise de Béziers, le 22 juillet 1209. Ensuite, c’est Carcassonne qui capitule. Raymond-Roger de Tencravel, seigneur des deux villes, voit ses terres, où l’hérésie est très présente, confiées à Simon de Montfort.

En 1211, le légat demande à Raymond VI de livrer les Juifs et les hérétiques, ce à quoi il répond par la négative. Simon de Montfort revient à la tête d’une nouvelle armée qui met les Albigeois en déroute et il récupère une grande partie des terres du comte de Toulouse. Celui-ci demande alors de l’aide au roi Pierre II d’Aragon. Sur son intervention, Innocent III condamne les abus de Simon de Montfort mais change d’avis ensuite. Le roi d'Aragon entre alors en guerre, mais est tué à Muret, le 12 septembre 1213.

En 1215, au concile de Latran, Simon de Montfort obtient la déchéance de Raymond VI et récupère les terres qui lui restaient. Le comte déchu et les Toulousains entrent en révolte et, lors d’un siège, Montfort est tué. L’armée croisée ne survit pas à son chef et Raymond VII finit par regagner les possessions de son père, mort en 1222.

Le traité de Paris et l'annexion du Languedoc

En 1226, Raymond VII est à son tour excommunié. Le roi Louis VIII fait une expédition dans le Midi et prend les terres de Tencravel, ainsi que les régions de Beaucaire et Carcassonne pour les agréger au domaine royal. Il meurt lors du retour.

De son côté, Raymond VII ayant perdu beaucoup d’alliés, abandonne toute résistance à la fin de 1228. Commence alors la conférence de Meaux qui aboutit au traité de Paris de 1229 et à la paix entre le roi et le comte. Grâce à ce traité, le Languedoc entre dans le domaine royal, à partir de 1271.

Le rôle de l'Inquisition

Après 1229, la lutte contre l’hérésie passe par l’Inquisition, confiée aux Dominicains. Ce "tribunal de la foi" est alors à son apogée et c'est en Languedoc que les inquisiteurs acquièrent leur réputation d'intransigeance répressive. Des cours de justice s'installent dans les principales villes: Montpellier, Carcassonne, Toulouse ...

Une résistance clandestine s’organise alors dans les villes et, en 1243, les derniers cathares se réfugient au château de Montségur. Ils parviennent à résister pendant presque un an mais, le 16 mars 1244, le château est pris et les hérétiques brûlés.

Sources :

Jacques Le Goff: "Croisade contre les Albigeois", Dictionnaire du Moyen Age, histoire et société, Albin Michel, Paris, 1997

Jean Chélini: Histoire religieuse de l'Occident médiéval, Hachette, Paris, 1991

DE TOULOUSE À L'ESPAGNE, A VIELHA DANS LES PYRÉNÉES

CÔTÉ FRANÇAIS, À CÔTÉ DE LA GARONNE, DANS PYRÉNÉES FRANÇAISES VER LES PYRÉNÉES ESPAGNOLES

CÔTÉ FRANÇAIS, À CÔTÉ DE LA GARONNE,  DANS PYRÉNÉES FRANÇAISES VER LES PYRÉNÉES ESPAGNOLES
En route vers Vielha, le froid se fait sentir, nous endossons nos manteaux d'hiver

VIELHA, CAPITAL DU VAL D'ARAN, ESPAGNE

Capitale du Val d’Aran, Vielha est une petite ville pyrénéenne, elle compte à peu prés 4.000 habitants et elle est située à 974 mètres d'altitude. Elle est entourée de sommets qui dépassent les 2000 mètres, elle a commencé à se construire dans l'agrandissement que forme la vallée de la Garonne, dans son point d'union avec la rivière Nere, qui traverse la localité. L’axe principal de communications est la N-230 qui met en communication le Val d’Aran et la France en suivant le cours de la Garonne. Au sud, la route rejoint Lleida par le tunnel de Vielha. Vers l’est, on atteint le port de la Bonaigua, souvent fermé l’hiver. Le Val d’Aran est donc naturellement ouvert vers la France. À vielha les rues ou édifices neufs ont formé un centre commercial intéressant où le visiteur trouvera tout type de commerces spécialisés en sports d'aventure, haute montagne et neige, des produits artisanaux du Val d’Aran et des Pyrénées, des articles et services de primière nécéssité, des boutiques de mode, outlets, supermerchés, banques, de plus de l'‘espitau’ (hôpital), et du complexe sportif Palai de Gèu. Les avenues les plus grandes contrastes avec les rues étroites et les maisons anciennes du vieux quartier, qui avec le temps s'est remplis d'offres culinaires les plus variées, avec des restaurants et des bars de tout type.

L'église de Sant Miquel, dédié au saint qui fut aussi prince, donne forme au centre de Vielha à côté de l'édifice avec son porche de la Mairie, l'Office de Teurisme, et le bâtiment de la Poste, et à l'intérieur conserve le précieux Christ de Mijaran. On pense que ce buste en bois formait partie de la scène de la descente de la Croix, qui fut détruite, et on conserve uniquement ce fragment. Daté du XIIe siècle il fut réalisé par un des maìtres de l'Atelier d'Erill, de l'Art Roman Lombard qui s'installa dans la vallée voisine de Boí. Les peintures gothiques et baroques qui se conservent dans l'église paroissiale de Vielha sont d'autres trésors qu'il ne faut pas manquez lors de la visite à l'intérieur, pendant qu'à l'extérieur son imposante tour octogonale surmontée d'un svelte clocher d'ardoisse, typique du Val d'Aran est remarquable.

Mais Vielha a d'autres endroits qu'il ne faut pas manquer: le Musée Ethnologique; la maison seigneuriale Ço de Rodès; et le Musée de la Laine. La Tour du général Martinón est une maison du XVIIe siècle avec d'interessantes fenêtres de la renaissance, qui actuellement accueille le Musée Ethnologique, où le visiteur découvrira la passionnante histoire du Val d’Aran. Ço de Rodès est une autre maison seigneuriale, située ausii dans la rue Mayor, à côté du Musée, qui a été dernièrement restaurée. Quelques rues plus haut, toujours dans le vieux quartier de Vielha, il y a un autre édifice historique, le Musée de la Laine, où l'on peut voir un métier à tisser Mülle Jenny, que fut la clé dans les ateliers textiles pendant la Révolution Industrielle, et qui nous montre l'essor qu'a eut ce secteur au Val d’Aran pendant le XIXe siècle.

Depuis la capitale aranaise de nombreux itinéraires d'une grande beauté sont le point de départ de randonnée pédestre, grâce à sa situation centrique dans la Vallée, vue que Vielha est un croisement authentique de chemins, où se rejoignent la N-230 après avoir traverser le tunnel, vers la France par le nord, ou vers la Ribagorza et Lleida en direction du sud; et la C-28 qui monte vers Baqueira et traverse le Port de la Bonaigua vers le Pallars. Le Chemin Royal vous emmènera à pied vers l'Alto Aran dans un sens, ou vers le Medio et Bajo Aran, si vous le prenez derrière le Palai de Gèu. Et à la sortie de Vielha, en direction France, vous trouverez les restes du sanctuarie de Mijaran, avec le nouveau édifice à côté, où les ‘conselhers’ et le Sindic d’Aran prennent possession de leurs postes au Conseil Général, comme ils le faisaient déjà au XIIIe siècle.

L'ART ROMAN EN ESPAGNE

L'ART ROMAN EN ESPAGNE
UNESCO a déclaré Patrimoine de l'Humanié l'ensemble d'église romanes catalanes de La Vall de Boí (l'Alta- Ribagorça - Espagne) qui est le meilleur témoignage de la présence de l’art roman en Catalogne qui regroupe neuf églises dans les Pyrénées de Lleida (Espagne). L'art roman est le premier art commun à toute la chrétienté européenne acquiert en Espagne une grande importance et une forte personnalité. La prise de conscience d'une spiritualité chrétienne collective, associée à l'essor des pèlerinages, favorise l'expansion des premières formes artistiques communes à toute l'Europe au cours du Moyen Âge. Du Xe au XIIIe siècle, et principalement à travers le chemin de Saint-Jacques, les royaumes chrétiens ibériques reçoivent les influences des nouveaux courants de l'architecture, la sculpture et la peinture, qui s'imprègnent ensuite des expressions artistiques locales, et en particulier de l'art musulman d'Al-Andalus.

9 NOVEMBRE, JOUR 49 : L’ESGLÉSIA DE SANT CLIMENT DE TAÜLL I EL ROMÀNIC DE LA VALL DE BOI

9 NOVEMBRE, JOUR 49 : L’ESGLÉSIA DE SANT CLIMENT DE TAÜLL I EL ROMÀNIC DE LA VALL DE BOI
L'église de Sant Climent Taüll est peut-être les plus belles églises romanes de la vallée de Boi. L'église a une structure très rustique avec pierre brute. La tour, attaché au bâtiment principal est carré et se compose de six étages. Les églises romanes de la Vall de Boi où l'art est le reflet d'une société structurée autour de hiérarchies et de l'église majestueuse, personnifiés dans ce cas de els senyors d’Erill l'évêché de de Roda d’Isàbena, les développeurs de la Vallée des Temples (dels temples de la Vall). Dans cette société médiévale, l'église rencontré, pas seulement une fonction religieuse, mais aussi avoir un rôle social important en tant que lieu de rencontre et de refuge dans le village. Dans le cas de la Vall de Boi, la fonction sociale de temples est évidente dans l'utilisation de ses clochers élancés comme des éléments de communication et de surveillance. L'art roman de Vall de Boi est exceptionnelle concentration dans un petit espace pour un si grand nombre d'églises dans le même style architectural, conservés au fil du temps avec peu de changements ont considérablement modifié sa conception initiale.

INTÉRIEUR DE L'ÉGLISE SANT CLIMENT DE TAÜLL

INTÉRIEUR DE L'ÉGLISE SANT CLIMENT DE TAÜLL
Art roman

DRAPEAU DE LLEIDA QUI EST LA PROVINCE DE VIELHA

DRAPEAU DE LLEIDA QUI EST LA PROVINCE DE VIELHA
Lleida : Écu en losange , champ d'or à quatre pals de gueules, chargé d'un bouquet de 3 fleurs de lis d'argent au pied nourri placées aux extrémités d'une tige barbée de sinople. Ces blasons dont la forme peut parfois déranger les puristes, sont toutefois une tradition de longue date en Catalogne , et cela jusqu'en France, dans les actuelles Pyrénées-Orientales. Vielha, est de la province de Lleida (nom officiel en catalan) ou Lérida (en castillan), est une ville située dans le nord-est de l'Espagne, dans la communauté autonome de Catalogne. Elle est la capitale de la province du même nom. En 2005, elle comptait 125 000 habitants et son aire urbaine 176 000 habitants. La forme catalane Lleida est l'unique toponyme officiel de la ville depuis 1980. La ville de Lérida, aux portes de l'Aragon, est une étape du « chemin catalan » vers Compostelle.

EN FAISANT LA TOURNÉE DES BARS À TAPAS

EN FAISANT LA TOURNÉE DES BARS À TAPAS

BOUFFE EN FAMILLE, TOUTE LA FIN DE SEMAINE

BOUFFE EN FAMILLE, TOUTE LA FIN DE SEMAINE
Amis, un souper improvisé, feux de foyer, il n'en faut pas plus pour fêter à l'espagnol

NOS AMIS!

NOS AMIS!

CHANSONS ESPAGNOLS ET DISCUSSION

CHANSONS ESPAGNOLS ET DISCUSSION
Un souper entre amis avec les familles

SUR NOTRE ROUTE DANS LES MONTAGNES

SUR NOTRE ROUTE DANS LES MONTAGNES
Elle passait devant nous !

11 NOVEMBRE, 13H00: RETOUR VERS TOULOUSE, DANS LES MONTAGNES NOUS SOMMES DANS LES NUAGES

11 NOVEMBRE, 13H00: RETOUR VERS TOULOUSE, DANS LES MONTAGNES NOUS SOMMES DANS LES NUAGES
COL DU PORTILLON, HAUTE-GARONNE, À 1291,8 MÈTRES, dans les montagnes

NOUS NOUS DIRIGEONS VERS LUCHON

NOUS NOUS DIRIGEONS VERS LUCHON

RETOUR À TOULOUSE, NOUS NOUS DIRIGEONS MAINTENANT VERS : CARCASSONNE

CHATEAUX CATHARES et la CITÉ

CHATEAUX CATHARES et la CITÉ
Châteaux cathares est un terme utilisé par le tourisme contemporain (à l'instar de Pays cathare) pour désigner, de manière arbitraire, la série de forteresses bâties par le roi de France sur la frontière sud de ses domaines à l'issue de la croisade contre les Albigeois. Quelques-uns de ces sites avaient connu, antérieurement à la période royale, un habitat villageois de type castral susceptible d'avoir abrité des cathares, rasé lors de l'érection des citadelles. Plus strictement, il faudrait parler de châteaux du Pays cathare. Les organismes officiels comme le Conseil général de l'Aude ou le Comité départemental du Tourisme de l'Aude n'utilisent jamais cette dénomination impropre de « châteaux cathares », mais bien celle de « châteaux du Pays cathare ». La Cité de Carcassonne occupe un éperon rocheux qui domine le cours du fleuve de L'Aude. Au IIIème siècle ap. J-c, elle se dote d’un rempart dont les vestiges sont encore visibles dans l’enceinte intérieure. C’est sur la face ouest de cette fortification primitive que les vicomtes Trencavel construisent le château au XIIème siècle, agrandi et enveloppé d’une enceinte un siècle plus tard. Suite aux croisades contre les Albigeois, le vicomté est rattaché au royaume de France en 1226. Au XIIIème siècle, la construction de l’enceinte extérieure et la modernisation du rempart intérieur font de la cité une forteresse imprenable. Dès lors et jusqu’à la signature, en 1659, du traité des Pyrénées, Carcassonne devient la pièce principale du dispositif de défense de la frontière entre la France et l’Aragon. Sauvée de la démolition grâce à la mobilisation d’érudits carcassonnais et de Prosper Mérimée, la Cité fera l’objet, entre 1844 et 1911, d’un immense chantier de restauration confié par l’Etat français à l’architecte Eugène Viollet-le-Duc. Propriété du Ministère de la Culture, le château et les remparts de la Cité sont ouverts au public par le Centre des monuments nationaux.

CARCASSONNE OU CARCAS SONNE, ORIGINE DU NOM, CINÉMA ET PERSONNALITÉS.

L'origine de la Cité tiendrait son nom d'une légende selon laquelle le nom de la ville de Carcassonne daterait du début du IXe siècle. Au moment des faits, la ville aurait été sarrasine. Charlemagne aurait fait le siège, mais la maîtresse des lieux, dame Carcas, aurait fort résisté. Les deux armées seraient devenues affamées. Tandis qu'il n'aurait resté qu'une mesure de blé et un petit cochon dans la cité, la dame Carcas aurait eu l'idée de démoraliser ses adversaires. Le porcelet aurait été engraissé, puis projeté par dessus les remparts. Pensant que la ville avait encore beaucoup de nourriture, Charlemagne aurait fait lever le siège. À ce moment, dame Carcas aurait fait sonner les trompettes et, Charlemagne revenant sur ses pas, la dame Carcas lui aurait proposé la paix. D'où l'expression « Carcas
sonne ».

Historiquement, la reconquête des terres du Languedoc par Charlemagne remonte à son père, Pépin le Bref, au milieu du VIIIe siècle.


Plusieurs films de cinéma ont été tournés à Carcassonne, autour de la Cité, car elle offre un décor de cinéma du Moyen Âge presque parfait. Ainsi, y ontété tournés des films comme :
Labyrinthe (roman) en 2011 d'après le roman de Kate Mosse,
Le Destin de Youssef Chahine en 1997,
Les Visiteurs de Jean-Marie Poiré en 1992,
Robin des Bois, Prince des voleurs deKevin Reynolds en 1991,
La Promise de Franc Roddam en 1985,
Un Lion en Hiver de Anthony Harvey en 1968,
Le Corniaud de Gérard Oury en 1965, avec Louis de Funès et Bourvil,
Le Miracle des Loups de André Hunebelle en 1961,
La Fiancée des Ténèbres de Serge de Poligny en 1944,
Le Miracle des Loups de Raymond Bernard en 1924,
La Merveilleuse Vie de Jeanne d'Arc de Marco de Gastyne en 1929,
Le Retour du Croisé de Louis Feuillade en 1908.
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Dans le même registre, les décors de la Cité auraient, selon la légende de la ville, inspiré Walt Disney pour son Château de la Belle au bois dormant.
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Personnalités liées à la Cité :
Jean-Pierre Cros-Myrevieille à l'origine du sauvetage de la Cité au XIXe siècle
Eugène Viollet-le-Duc, grand restaurateur de la Cité de Carcassonne.
Joseph Poux (1873-1938), historien de la Cité, écrit en 1923 l'ouvrage La Cité de Carcassonne : précis historique, archéologique et descriptif qui rassemble tout ce qu'il faut savoir sur la ville. Une stèle, dans le jardin avant l'entrée de la Cité, lui rend hommage.

Simon de Montfort est fait vicomte de Carcassonne et poursuit la croisade, rapidement transformée en guerre de conquête personnelle. Tombée dans l'escarcelle du roi de France en 1226, la cité de Carcassonne va devenir la place militaire qui commande le système défensif frontalier mis en place contre le roi d'Aragon. On ajoute à cette époque une deuxième enceinte de fortifications.

VITRAUX BASILIQUE SAINT-NAZAIRE

VITRAUX BASILIQUE SAINT-NAZAIRE
Dans le choeur, le vitrail central illustre la vie de Jésus (fin 13e siècle), et de part et d'autre, la vie des Apôtres Pierre et Paul sur le côté Nord, et celle de Saint Nazaire et Saint Celse, patrons de l'église, sur le côté Sud (vers 1320).

15 NOVEMBRE, RETOUR À PARIS (DE TOULOUSE) EN TGV

17 NOVEMBRE : HOTEL DE VILLE DE PARIS

17 NOVEMBRE : HOTEL DE VILLE DE PARIS

PARIS A INSTALLÉ SES DÉCORATIONS DE NOEL

PARIS A INSTALLÉ SES DÉCORATIONS DE NOEL

LE VENDEUR DE PORCELAINE PRÈS DE NOTRE APPARTEMENT

LE VENDEUR DE PORCELAINE PRÈS DE NOTRE APPARTEMENT

LE MARAIS, PARIS

Le Marais est un quartier parisien historique (et non administratif), situé dans une partie des 3e et 4e de Paris, sur la rive droite de la Sine. Il est aujourd'hui délimité à l'ouest par la rue Beaubourg , à l'est par le boulevard Beaumarchais, au nord par la rue de Bretagne et au sud par la Seine.

Le Marais est une ancienne zone de marécages occupée depuis le XIIe siècle par des ordres religieux parmi lesquels l'ordre du Temple, qui y installent des établissements. Le Marais émerge en tant que quartier au XIVe siècle. L'installation de Charles V à l'hôtel St-Pol plutôt qu'au Palais de la Cité pousse à élargir les fortifications Est de la ville et à y inclure les marécages mis en culture aux alentours. Cette urbanisation continuera trois siècles durant jusqu'à atteindre son faîte sous Henri IV avec notamment la construction de la place Royale, actuelle Place des Vosges. Donc, le nouveau secteur royal attire et rapidement les grands seigneurs et les marchands et se remplit d'hôtels luxueux.

Au début du XVIIe siècle, à la suite de la construction de la place des Vosges ce quartier, jusque-là périphérique, devient le lieu de résidence de la noblesse parisienne. De nombreux hôtels particuliers y sont construits dont beaucoup subsistent aujourd'hui.

Au XVIIIe, la grande bourgeoisie s'exile vers l'Ouest pour se rapprocher de Versailles. Elle laisse alors place aux artisans et aux provinciaux. Le quartier est maintenant déserté par l'élite parisienne au profit du faubourg Saint-Honoré et du foubourg Saint-Germain qui offrent plus d'espace.

La Révolution française achève de chasser les propriétaires fortunés. Le quartier est dès lors occupé par une population d'artisans et d'ouvriers qui occupe les anciens hôtels et construit des ateliers dans les anciennes cours intérieures.

Après la Révolution, les couvents et grandes demeures devenus biens nationaux sont détruits ou parcellisés par souci de rentabilité.

La révolution industrielle achève de transformer le quartier qui s'enfonce peu à peu dans l'insalubrité. Il faudra attendre les années 1930 pour qu'une réflexion s'engage sur le devenir du Marais. Les modernistes qui prônent l'éradication des bâtiments et la construction de tours s'opposent à l'école Giovannoni, adepte de la rénovation.

Les grands travaux d'aménagements de Paris du XIXe siècle touchent peu le quartier qui conserve ses rues étroites, mais de nombreux immeubles de qualité sont progressivement détruits.

En 1969, André Malraux lance un programme de sauvegarde et de préservation qui se poursuit encore aujourd'hui. C'estcette dernière idée qui s'imposera avec la loi Malraux de 1962 sur la protectiondes ensembles urbains puis avec le Plan de sauvegarde et de mise en valeur(PSMV) adopté en 1996.

Depuis, le quartier a pu renaître de ses cendres etretrouver le charme et l'activité qu'on lui connaît. Le quartier préservé est désormais, grâce à ses beaux immeubles, fréquenté par les touristes et recherché par les classes aisées. De nombreux musées y sont installés.

LA TABLE EST MISE DANS LE MARAIS

LA TABLE EST MISE DANS LE MARAIS
LE BVH/DU MARAIS, Un bazar version luxe

À CE BISTROT, LE CHEF FAIT UNE CRÊPE AU NUTELLA

À CE BISTROT, LE CHEF FAIT UNE CRÊPE AU NUTELLA
Sur la terrasse, chauffée...Dans un bistrot du Marais

TOUR SAINT-JACQUES 1867

TOUR SAINT-JACQUES 1867

TOUR DE L'ÉGLISE SAINT-JACQUES-DE-LA-BOUCHERIE 1702

TOUR DE L'ÉGLISE SAINT-JACQUES-DE-LA-BOUCHERIE 1702
L’église Saint-Jacques-de-la-Boucherie est une ancienne église de Paris fondée au XIIe siècle. Elle se tenait au cœur du quartier de la Grande Boucherie, qui lui donna son nom en 1259 pour la différencier de l’église Saint-Jacques-du-Haut-Pas sur la rive gauche. Elle est citée par la Chronique de Turpin comme ayant été fondée par Charlemagne, ce que les historiens n’ont jamais pu confirmer. Elle possédait plusieurs reliques de saint Jacques le Majeur et était un lieu de pèlerinage. En 1406, Charles VI autorisa les bouchers à fonder dans leur chapelle au sein de l’église, une confrérie en l’honneur de la nativité du Christ. Elle fut consacrée par l’évêque de Turin le 24 mars 1414. Elle fut agrandie au XIVe et au XVIe siècle. En 1509 débuta la construction d’un nouveau clocher dans le style gothique dit flamboyant , qui s’acheva en 1522. Elle fut, jusqu’en 1762, un lieu très fréquent de sépulture, avant que les corps des défunts ne soient enterrés dans le proche cimetière des Innocents. L’église a d’abord été une chapelle dédiée à Sainte Anne, que des travaux ont agrandie au douzième siècle. Au quatorzième siècle, de nouveaux travaux en doublent la superficie. Certains sont commandités par Nicolas Flamel, dont l’échoppe d’écrivain juré, à l’enseigne de la Fleur de lys, s’adosse à l’église où il choisit d’être inhumé. En 1648, Blaise Pascal répète dans cette tour l’expérience de Torricelli, qui est à l’origine de l’invention du baromètre. C’est pourquoi en 1857, une statue lui rend hommage au pied de la tour. L’église elle-même est détruite en 1797. L’épitaphe de Nicolas Flamel finit par rejoindre le musée de Cluny. Au début du dix-neuvième siècle la tour est reconvertie en fabrique de plombs de chasse, avant d’être rachetée en 1836 par la Ville de Paris. Celle-ci la fait restaurer, l’enveloppant notamment d’une assise octogonale, haute de 14 marches. Un square remplace les maisons construites sur les ruines de l’ancienne église. Les travaux révèlent une stèle gallo-romaine représentant le dieu Mercure. Les ossements du cimetière attenant sont déposés en 1852 dans l’ossuaire du cimetière de l’Ouest avant de rejoindre les Catacombes en 1859. Les ossements provenant des inhumations de la fin du dix-huitième siècle sont retirés en 1853 puis enterrés au pied de la tour. La ligne 1 du métro traverse aujourd’hui l’emplacement d’une partie des caveaux. Fermée au culte durant la Révolution française, elle accueillit les réunions de la section révolutionnaire des Lombards Vendue comme bien national en 1797, elle fut démontée et il fut fait commerce de ses pierres. Seul le clocher fut épargné. En 1836, la ville de Paris fit l’acquisition du clocher subsistant, isolé et abandonné, qui devint, au XIXe siècle, la tour Saint-Jacques, ornement d’un des premiers jardins publics parisiens. En 2007, la ville de Paris en concertation avec la Conservation régionale des Monuments historiques a entrepris une restauration complète de la Tour.
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